2.1.05

L'enfer c'est pas moi, c'est eux.

Je ne pense pas avoir été le seul à le relever, mais ce bon vieux Jean Paul Sartre, bien que fêtant ses cent ans cette année, écrivait dans l'édition du premier janvier de Libé ces quelques mots que je ne résiste pas à vous retranscrire :

"Encore dois-je ajouter, au risque de heurter les âmes délicates, que je tiens les journaux intimes pour une pestilence. Avant même que vous leviez la plume, et dussiez-vous ne pas la poser sur le cahier, la mauvaise foi vous hante de toutes les sournoises complaisances qu'une conscience blette s'accorde à elle-même."

C'est plutôt pertinent, surtout de la part de quelqu'un mort depuis 25 ans.




2 Comments:

Mieux que du Beau de L'Air, ça en deviend du Despentes.
Rappelle toi Josepha, il pleuvait ce we là à clermont ferrand.

Grouiik

By Anonymous Anonyme, at 11:46 PM  

tu m'as fait peur,
j'ai cru un instant que j'avais mon tout premier commentaire

By Blogger Découper selon les traits, at 11:54 PM  

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